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Réflexions |
QUELQUES PENSEES JETEES SUR LE PAPIER… (Sérieuses et moins sérieuses) |
QUELQUES
PENSÉES JETÉES SUR
¤¤¤ Pour paraphraser le poète qui
dit que « la femme est l’avenir de l’homme »,
j’ajouterai que « l’homme est le passé
de la femme ». ¤¤¤¤ Les femmes, je les adore… ! Je cesse de les aimer dès qu’elles ouvrent la bouche. Plus que le dit du mot ¤¤¤¤ J’ai rêvé d’une Vie plus belle que la Mort. C’est pourquoi je suis resté. ¤¤¤¤ Parole de prisonnier attendant la plaidoirie : « Entre le soleil et moi, c’est une affaire de barreaux. Mon avocat ne me dira pas le contraire. » ¤¤¤¤ Affaire d’interprétation : ¤¤¤ Il est si paresseux qu’il ne fait pas son travail. Il l’exécute. ¤¤¤ C’est le poisson qui a mangé
le ver. ¤¤¤ On ne peut pas aimer si on ne vous a pas montré à voir. ¤¤¤ Le bonheur c’est de réussir ce qu’on n’aurait jamais pensé être capable de faire. ¤¤¤ Cartables trop lourds (1): ¤¤¤ Il est si paresseux qu’il
attend la canicule pour peindre sa porte.
Cartables trop lourds (2) : ¤¤¤
¤¤¤ Un père dit un jour à ses enfants : « Votre mère, c’est une sainte. Vous n’êtes pas prêts d’en changer de si tôt ; c’est moi qui vous le dis ! » ¤¤¤ Pour une nouvelle, c’est une bonne nouvelle, mais qui, somme toute, est une nouvelle qui n’est pas nouvelle. C’est plutôt une ancienne ! ¤¤¤ Décidément, ces bonbons sont si immangeables qu’on devrait les appeler des mauvaismauvais. ¤¤¤ Si, par un coup de baguette magique, la richesse venait subitement à appartenir aux gens intelligents, il y a plus d’un riche qui se retrouverait sur la paille. ¤¤¤ Le chemin de l’eau est le seul qui se referme après avoir été ouvert. ¤¤¤ « Salut Gilbert. Huit jours après… « Salut Gilbert. ¤¤¤ À l’homme ou à la
pomme, tout dépend à qui on s’adresse ... ¤¤¤ C’est du chinois ou du russe ? ¤¤¤ On a l’âge de ses artères. Les miennes sont de vieilles ruelles, pleines de fondrières ! ¤¤¤ Le personnel sans bagages, qui occupe un poste par protection, a souvent plus d’orgueil que le personnel diplômé, qui occupe le même poste, sans n’avoir rien demandé à personne.
CQFD : ¤¤¤ À son anniversaire, je lui ai apporté une bruyère et un petit pot de chrysanthème, puis, j'ai crié bien fort : « Bon anniversaire, Marcel ! » ¤¤¤ Des éoliennes, vraiment, ce n’est
pas beau… ¤¤¤
Il n’y a rien de plus dangereux que de vivre parmi les cons car ils ne préviennent pas quand ils vont frapper.
Les rugbymen tricolores ont été si bons contre les springboks, qu’on a cru qu’ils n’étaient pas français.
¤¤¤ Elle était si laide que même son miroir refusait de la réfléchir. ¤¤¤ Ne soyez pas désolée de
ne pas m’avoir vu aux obsèques de votre chère maman. ¤¤¤ Elle vient de s’acheter un ensemble
couleur potiron. ¤¤¤ Autrefois, au théâtre, on me confiait des rôles de jeunes premiers, maintenant, on me confie des rôles de vieux derniers. ¤¤¤ Il est bon comme écrivain. C’est lui qui écrivait tous les textes du mime Marceau. ¤¤¤ On a dit de moi que je n’étais pas toujours bon… Sans doute s’agissait-il de gens qui sont toujours mauvais ? ¤¤¤
¤¤¤ « Mange mon ami ! Mange… ! Mon mari aime tellement la pêche qu’il va finir par trouver des arêtes dans le poulet ! » ¤¤¤ Heureusement qu’il y a des pourris sur terre, sinon il n’y aurait plus de place au paradis. ¤¤¤ Quand on verra des Sénégalais dans les rues de Pékin, on pourra dire que les Chinois ont mis de l’eau dans leur alcool de riz. ¤¤¤
« Mais pourquoi
diable a-t-il tiré sur l’émissaire ?
J’adore les côtes, à condition de les prendre dans le sens de la descente. ¤¤¤ Les Princes préfèrent les cons pour les dominer plus facilement. ¤¤¤ Il n’y a pas d’amour sans tolérance. C’est peut-être l’inverse qui est le plus dur. ¤¤¤ Je crois qu’il n’y a rien là-haut. Le plus fort, c’est de savoir que les rastaquouères, qui nous ont tant pourri la vie sur terre, ne seront jamais punis ! ¤¤¤ Seul l’homme rit ; la femme « nicasse ». ¤¤¤ Il est entré dans la mort comme on entre dans l’eau, en la tâtant du bout des orteils, pour voir si elle était bonne. ¤¤¤ C’était un comédien qui avait une telle personnalité, qu’à côté de lui, les personnages qu’il interprétait étaient bien ternes ! ¤¤¤ Il était si orgueilleux qu’il avait fini par croire qu’il était plus fort que l’oiseau. Même qu'il s'est mis à voler. ¤¤¤ Quelle humiliation pour lui quand il s’est jeté du huitième ! Il avait oublié qu’il n’avait point d’ailes ! ¤¤¤ Lui as-tu dit qu’il
était con ?
Souvenir de théâtre : ¤¤¤ Qu’elle est belle cette maison ! Encore des gens qui ont pognon sur rue ! ¤¤¤ Ce tableau m’a coûté
la peau des fesses. ¤¤¤ Lui as-tu dit qu’il était
con ? ¤¤¤ Qui refuse la mort n’accepte point la vie. ¤¤¤ Naître c’est prendre des risques. ¤¤¤ Je savais qu’il y avait de la bêtise en lui, mais je j’ignorais qu'elle fût si profond. ¤¤¤ « Il a eu le cancer. On l’a
sauvé, dit le premier. ¤¤¤ Il suffit de nommer un arbre pour donner un nom à la forêt. ¤¤¤ « Qu’est-ce qu’il
fait comme métier ? ¤¤¤ Si le latin des curés est l’opium du peuple, l’hébreu des pédagos est l’opium de l’enseignant. ¤¤¤ Entre le bac cuisine et le bac de technicien de surface, je n’en connais qu’un seul : le bac à vaisselle ! ¤¤¤
¤¤¤ C’est quand je ne fais rien que je travaille le plus. ¤¤¤ L’école est mauvaise pour les bons. ¤¤¤ Les mots que j’ai écrits sont si violents que ma page en tremble encore ! ¤¤¤ Je te lèche mon nounours pour ne pas qu’on dise de toi que tu es un ours mal léché. ¤¤¤ Si je me promène avec une poche de glace sur la tête, c’est pour garder mon sang froid. ¤¤¤ L’homme inventa les dieux. Quant au diable, il n’eut rien à faire. Il existait déjà. ¤¤¤ Le premier qui éternue dans la salle, je le mouche ! ¤¤¤ Un bateau est en train de couler. Sur
le pont, il y a une jolie fille et un laideron. Vous voulez les sauver
toutes les deux, mais vous ne pouvez prendre qu’une seule personne
à bord . Qui prenez-vous… ? ¤¤¤ Être bête, n’a jamais fait mourir personne. Ce qui est infiniment regrettable… Ça nous aurait fait de la place. ¤¤¤ La médecine. Même à deux vitesses. Ça va encore. Mais le jour où elle va enclencher la cinquième, ça va faire mal. ¤¤¤ De nos jours, un livre scolaire c’est
99% d’images pour 1% de texte. Tous les ordinateurs du monde vous
le diront. Les photos, c’est ce qui pèse le plus quand
un mail est envoyé. ¤¤¤ Comment se fait-il qu’il ait subi un double pontage coronarien alors qu’il n’a pas de cœur ? ¤¤¤
¤¤¤ Expliquez-moi pourquoi on met autant
d’obstacles sur les routes – ralentisseurs, chicanes, ronds-points,
dos d’âne – alors que l’essence est si chère ? ¤¤¤ Jojo, il a une tête à rentrer du bois pour l’été. ¤¤¤ Ne me dites surtout pas que le sport conserve alors que les footballeurs prennent leur retraite à trente ans ! ¤¤¤
¤¤¤ Il est facile de faire croire à quelqu’un qu’il est bête. Il suffit de le lui dire… L’intelligent le croira. L’imbécile le niera. ¤¤¤ On apprend beaucoup au contact des imbéciles. Notamment ce qu’on ne doit pas faire. ¤¤¤ Le beau n’a pas besoin d’explication, le laid doit rendre des comptes.
« Salut Jojo ! Qu’est-ce
qu’il fait ton père ? ¤¤¤
¤¤¤ Sa dentition était telle qu’on se demandait comment sa langue pouvait encore tenir dans sa bouche. ¤¤¤ Être redevable à quelqu’un, c’est déjà le début de l’esclavage. ¤¤¤ Fermer les yeux sur des actes délictueux, c’est les légitimer. ¤¤¤ La foi est le masque de la vérité.
L’argent c’est l’uniforme des cons. ¤¤¤ Je ne suis pas toujours bon. Mais je m’estime meilleur que ceux qui sont toujours mauvais et à qui on fait croire qu’ils sont bons. ¤¤¤ Il n'y a rien de pire que de se savoir déchargé d'une tâche par son supérieur, en faveur d'un incapable, alors qu'on en a les capacités. ¤¤¤ Jojo, lui, n’a pas attendu le printemps pour être allergique au boulot. ¤¤¤ Alerte ! Septembre, le retour des allergies au boulot. ¤¤¤ A partir d’un certain
âge, on ne peut plus s’aplatir devant les gens. On aurait
bien trop de mal à se relever. On est coincés. La mort nous guette. Et on ne peut même pas se suicider pour l’éviter. ¤¤¤ « Monsieur le Vendeur, c’est
votre numéro de téléphone que vous avez mis sur
cet article ? ¤¤¤ Dieu, c’est quoi… ?
Tout ce qu’on ne comprend pas. ¤¤¤ « Il est plus bête que méchant, » n’est pas une excuse. Quand on sait que la bêtise conduit toujours à la méchanceté. ¤¤¤ Tous les vols sont annulés. ¤¤¤ La différence entre le vol du bourdon et le vol à la tire, c’est que le premier pique alors que le second consiste à ne pas se faire piquer. ¤¤¤ Le coup de pied est au cul ce que le degré est au thermomètre. Il y a le normal et le ressenti. ¤¤¤ On ne doit jamais laisser la parole aux gens, même quand ils n’ont rien à dire.
Laissons parler ceux qui n’ont rien à dire. Ils ont toujours quelque chose à nous apprendre. ¤¤¤ « Vous avez complètement
manqué les éliminatoires du cent mètres. Que s’est-il
passé ? Et comment comptez-vous gérer les autres
épreuves?
« On m’a coupé
la jambe et j’ai toujours mal aux pieds.
« Rien que de penser à l’incinération, ça me fait froid dans le dos ! » ¤¤¤ À force de trouver aux gens des qualités qu’ils n’ont pas, on finit par leur pardonner ce qu’on ne pardonnerait pas à ceux qui en sont naturellement pourvus. ¤¤¤ Pour quelqu’un qui adore la mer, c’est dur d’être incontinent. ¤¤¤ On dit du mal de tout le monde. Même de Dieu. C’est pour cela qu’il ne se montre pas. Sinon on lui en dirait davantage. ¤¤¤ Il jouait du silence comme on joue d’un violon. Il en tirait des sons dignes d’un virtuose. ¤¤¤ À force d'aller en prison Jojo est un virtuose du violon. ¤¤¤ Le bonheur n’est pas du bonheur. Le bonheur, c’est l’attente du bonheur. ¤¤¤ Pendant que « Président » fait son beurre, le contribuable fait de l’huile ! ¤¤¤ « Mesdames et messieurs ! Après concertation du jury, cette année, les Jeux Olympiques d’hiver auront lieu au Sahara et ceux d’été au Groenland ». ¤¤¤ Les montres sont étanches jusqu’à 30 mètres. Pour plonger ses mains dans le bac à vaisselle, il y a de la marge ! ¤¤¤ Il a toujours ramé. Pourtant, il habite en plein désert de Gobi. ¤¤¤ « Où qu’c’est
qu’il est don’ ton Mathieu ? ¤¤¤ « Encore une manifestation
paysanne ? ¤¤¤ Ils ont perdu ? Forcément, ils avaient mis un Ivoirien dans les buts ! ¤¤¤ Les jours ont rallongé ? Tiens ! Je n’avais pas remarqué. Alors, ils ne font plus vingt quatre heures ? ¤¤¤ L’homme est un bipède qui marche sur la tête. ¤¤¤ « Je suis dans la Drôme.
Et vous ?
La pollution est telle qu’un jour je suis entré à Paris aux bras de ma femme et que j’en suis ressorti le lendemain aux bras d’une autre. ¤¤¤ Samedi dernier j’ai vu ta femme
entrer chez le bijoutier. ¤¤¤ Merci pour votre charmante invitation. Mais je vous prie de bien vouloir m’excuser car ma base virale n’a pas encore été mise à jour. ¤¤¤ Je suis sauteuse en longueur. ¤¤¤ Pour transformer une défaite en victoire, il suffit de l’effacer. ¤¤¤ Ne vous fiez pas au géomètre. Le compas qu’il avait dans l’œil a fini par lui crever les deux yeux. ¤¤¤ Réhabilitons l’échafaud ! Lequel a constitué pour les suppliciés une véritable tribune qui a permis à pas mal de bons mots de passer à la postérité. « Aïe ! » et « Ouille ! » restent parmi les plus employés aujourd’hui. ¤¤¤ Il n’y a rien de plus dangereux que les évidences car elles crèvent les yeux. ¤¤¤ Comme le flamant rose venait de Bosnie-Herzégovine, et non des Flandres, on l’a appelé le Bosniaque rose. ¤¤¤ « Il travaille avec brio,
fait l’un. ¤¤¤ Historique ! ¤¤¤ Dans ce pays, la moitié des jeunes a plus de soixante dix ans. ¤¤¤ J’ai bu vos paroles. Elles m’ont saoulé ! ¤¤¤ C’est de quel côté l’amour ? ¤¤¤ Depuis que je suis « bailleur de fond », j’ai du mal à fermer la bouche. ¤¤¤ Comme elle est toujours barrée, j’ai mis une puce à ma femme pour savoir où elle est. Depuis elle se gratte tout le temps. ¤¤¤ « Qu’est-ce qu’ils
font tous ces gens-là à marcher en dormant ? ¤¤¤ J’ai délocalisé ma belle-mère. ¤¤¤ La pub qui ne sert à rien : ¤¤¤ Le volant des socialistes est à gauche, mais ils roulent à droite et les trois-quarts du temps dans le fossé. ¤¤¤
¤¤¤ J’ai prêté mon oreille à quelqu’un qui ne me l’a jamais rendue. Depuis je n’entends plus rien. ¤¤¤ C’est une femme qui aime les belles toilettes. La prochaine fois, je lui ferai visiter les miennes. ¤¤¤ Fermer les yeux sur l’évidence, c’est l’ouvrir sur le déni. ¤¤¤ S’il y en a qui trient les lentilles pour chercher des cailloux, moi je trie les cailloux pour chercher mes lentilles. ¤¤¤ Sur la liste des absents, il est toujours présent. ¤¤¤ À Paris, circulation alternée imposée. Chez moi, mariage alterné décrété. ¤¤¤ Ce livre est si plaisant qu’il se lit les yeux fermés.
X : J’ai une perruque, un
dentier, deux sonotones et un pacemaker. Qu’est-ce que ¤¤¤ Vous me trouvez petit ? ¤¤¤ J’ai regardé la descente à la télé. Les skieurs allaient à toute vitesse. Pourquoi n’organise-t-on pas des épreuves de descente ? Mais dans le sens de la montée ? On aurait le temps de les voir. ¤¤¤ En vieillissant, on maigrit toujours dans le sens de la hauteur. C’est pour ça que ça ne se voit pas.
Si la mer est d’huile, c’est parce qu’elle a la trouille. ¤¤¤ Peut-on rire d’un sourd quand on est soi-même aveugle des deux yeux ? ¤¤¤ Comme elle est née par temps clair, on l’a appelée « Claire ». S’il avait été couvert, on l’aurait appelée « Sombre ». ¤¤¤ La croqueuse de diamants faisait du veuf avec du vieux. ¤¤¤ À chacun son métier : Ma femme a la main verte, moi, je l’ai noire. Et notre fils est un col blanc. ¤¤¤ Ce mec-là, il est plus difficile à dessaler que l’eau de mer. Même qu’après traitement, sûr et certain qu’il ne sera toujours pas potable ! ¤¤¤ Pour les joueurs, c’est une promenade de santé, vu que le score est acquis. À qui ? À qui ? Justement. À qui il est, ce score ? ¤¤¤ Être inutile à quelqu’un est une magnifique raison de lui pourrir la vie. ¤¤¤ Je suis à l’école de ceux qui ne me ressemblent pas. Parce qu’au moins, elle a quelque chose à m’apprendre que je ne connais pas de moi. ¤¤¤ Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console. ¤¤¤ Vieux comme mes robes. (Hérode) ¤¤¤ A rester toujours assis, on a des ampoules aux fesses. ¤¤¤ Le mort est content. Il a goûté à la bière. Il a dit qu’elle était bonne. ¤¤¤ On amarre les bateaux. Certes. Mais il n’y a pas que les bateaux qui en ont marre ! ¤¤¤ Chez lui, ça sent tellement l’ennui, que même sa porte reste entrebâillée. ¤¤¤ Gagnons du temps, voulez-vous…Dites-moi tout de suite pourquoi vous m’invitez. Puisque vous m’invitez toujours par intérêt. ¤¤¤ Votre unique but, c’est de gagner la coupe du monde de football…? Comment voulez-vous la gagner avec un seul but ? ¤¤¤ C’est toujours quand une idée me taraude que j’ai un trou de mémoire. ¤¤¤ Qu’est-ce que vous faites avec
votre mètre pliant ? ¤¤¤ Qu’est-ce que vous cherchez ? ¤¤¤ A force de boire mes paroles, il ne tenait plus debout. ¤¤¤
¤¤¤ Il y a des silences si profonds qu’on pourrait s’y noyer. ¤¤¤ J’ai mal. ¤¤¤ Il ne faut pas camper n’importe où. J’ai souvent planté ma tente à la campagne, à la montagne ou au bord de la mer. J’en suis revenu. Depuis, je campe sur mes positions. ¤¤¤ Quand on s’appelle « Cornu », il vaut mieux rester célibataire. Après, libre à vous de prendre des risques. ¤¤¤ L’égalité homme-femme, moi j’y crois. Tiens, Germaine ! Porte-moi donc ce sac de ciment ! ¤¤¤ Tiens !? Tu fais du naturisme ? ¤¤¤ Elle aimait tellement parler qu’elle faisait les demandes et les réponses pour pouvoir garder la conversation plus longtemps. ¤¤¤ Elle quitta son mari, incontinent. Normal ! Elle en avait assez d’être mouillée ! ¤¤¤ Mon docteur a dit qu’il allait en référer au Comité des tiques. Vu qu’il vient de se faire piquer ! ¤¤¤ Depuis qu’on a donné la parole aux cons, ils ne nous l’ont jamais rendue. ¤¤¤ Sans ses subordonnés, un chef n’aurait jamais pu être chef. ¤¤¤ Comme elle ne savait rien, elle fit croire qu’elle savait tout. Et tout le monde l’a cru. Après, on n’a pas été plus avancé qu’avant. ¤¤¤ Bonne fête Simone! Aujourd’hui, c’est ta fête. C’est la journée mondiale de la peste. ¤¤¤ Au lieu de faire, il vaut mieux faire faire. ¤¤¤ Ne dites pas : « Ce footballeur a envoyé le ballon aux prunes ! ». Dites qu’il n’avait pas les bons appuis. ¤¤¤ Il est formellement interdit de pleurer dans un désert. Il ne faut pas gaspiller l’eau ! ¤¤¤ Au championnat d’Europe de judo,
Marcel Dupond s’impose avec brio… ¤¤¤ Je suis pour la dépénalisation du cannabis. Comme cela mes électeurs ne sauront pas qu’ils ont voté pour moi. ¤¤¤ Moi ? Monter au ciel ? Impossible ! Les asticots me boufferont avant. ¤¤¤ Elle est bien ta femme. Tu l’as
eue où ? ¤¤¤ Remettez à une date ultérieure votre relation avec cette femme. Une mise à jour de ses ressources est en cours. Veuillez patienter. N’appuyez pas sur votre télécommande. ¤¤¤ Le condamné au
bourreau qui l’attend, au pied de la guillotine : « Avez-vous
au moins pensé à stériliser la lame ? » Maurice a cassé sa pipe ? Je ne savais pas qu’il fumait. ¤¤¤ J’en avais tellement marre d’arroser mon jardin que je l’ai fait au fond de la mer. ¤¤¤ On peut peindre une fleur, jamais son parfum.
Dans le maniement d’armes, il
y a des commandements qu’il convient d’éviter. Par
exemple : ¤¤¤ Comment résoudre le problème
des déserts médicaux ? ¤¤¤ Braquage dans une librairie : plus
de cinq mille ouvrages dérobés !!! ¤¤¤ Il n’entendait que d’un œil et ne voyait que d’une oreille … Sur terre, il y a vraiment des gens mal foutus ! ¤¤¤ Il régnait un
tel silence dans cette forêt qu’on entendait les escargots
marcher sur la pointe des pieds. Football : ¤¤¤ Le problème avec les gens c’est
qu’ils ne voient que ce qu’ils font pour les autres et non
ce que les autres font pour eux. ¤¤¤
¤¤¤ J’ai donné aux Petits Frères
des Pauvres, aux Grandes Sœurs des Riches, à Action contre
la Faim, à Action contre la Soif, à Sidaction, à
Grippaction, à la Ligue Mondiale pour les Soins Liés aux
Troubles Hormonaux, à la Société des Chômeurs
de Longue Durée, à celle des Travailleurs Clandestins,
puis à celle des Ouvriers Légaux. Maintenant, je n’ai
plus un rond. ¤¤¤ C’est en voyant les femmes des autres que je me suis mis à aimer la mienne. ¤¤¤ Le passé a-t-il encore un avenir ? ¤¤¤ Je suis éleveur d’arbres et mon troupeau, c’est la forêt. ¤¤¤ Il m’a doublé tellement vite que, même mon rétroviseur n’a pas eu le temps de le voir. ¤¤¤ Le son du tambour est toujours plus fort que le flûteau de la vérité. ¤¤¤ Le menteur a toujours besoin de justifier ses mensonges, pour leur donner l’apparence de la vérité. ¤¤¤ Si le Nobel de la connerie existait, tu serais nominé. ¤¤¤
¤¤¤ Ceux qui aiment les livres ne sont pas complètement perdus pour la société. ¤¤¤ Comptez sur moi ! ¤¤¤ Quand j’ai vu le jour se lever du mauvais pied, je me suis dit qu’il ne me disait rien qui vaille. Il y a des jours comme cela où il vaudrait mieux commencer par la fin. ¤¤¤ Il est tellement con qu’il mériterait de marcher à quatre pattes. ¤¤¤ Monsieur le juge, ce n’est pas parce que j’ai fait une fausse note qu’il faut m’envoyer au violon. ¤¤¤ Je suis mauvais, je le sais. Mais l'avantage que j'ai par rapport à ceux qui sont meilleurs que moi, c’est ma marge de progression. Elle est beaucoup plus importante que la leur. ¤¤¤ Chez nous, tout est électrique. Même les chaises. ¤¤¤ Que serait la terre sans un mot du soleil ? ¤¤¤
¤¤¤ Bien obligé de me rendre à son enterrement, sinon il va m'en vouloir pour le restant de ses jours. ¤¤¤ Pourquoi, pour une même durée, le temps passé à souffrir paraît-il plus long que celui passé en bonne santé ? ¤¤¤
Mon portable, je le perds tout le temps. Normal ! C'est un mobile.
Je vous informe de mon existence les jours ouvrés seulement.
Celui qui ne vous aime pas vous fait dire des choses, que vous n'avez jamais dites. Et des choses qu'il a dites, il jure de ne les avoir jamais prononcées.
Fermez les yeux ! La lune nous montre son derrière.
¤¤¤ Entendre ce que je n'écoute pas m'agace.
¤¤¤
¤¤¤
¤¤¤
¤¤¤ Il avait tellement plu qu'il avait fallu tordre les routes avant de marcher dessus. ¤¤¤ J'ai attaché l'ombre de mon enfance au tronc du vieux châtaignier ¤¤¤ Si elle lisait de gauche à droite, elle parlait de droite à gauche. ¤¤¤ Le feu que j'avais allumé, le
lendemain avait disparu. ¤¤¤ Ma femme est partie avec le chemin. Une route l'avait prise par le bras. ¤¤¤ Le maçon parle aux pierres qui
lui répondent par une maison ¤¤¤ Aux mains qui se tendent ¤¤¤ Il faut toujours rendre le chemin qu'on a emprunté. ¤¤¤ Elle est partie ¤¤¤ On m'a offert une chemise et un pantalon pour que je me sente moins seul. ¤¤¤ J'ai marché sur la route. Et la route a marché avec moi. ¤¤¤ Il faisait un froid à ne pas mettre une maison dehors. ¤¤¤
¤¤¤ L'analphabète ne sait lire que les interlignes et les lettres blanches - celles qui sont à côté des noires. ¤¤¤ De par son expérience du passé, il avait la mémoire du futur. ¤¤¤ Elle mesurait cinq minutes ¤¤¤ Elle était si maigre qu'elle n'avait pas de profils ¤¤¤ Ce n'est pas parce que les candidats intelligents ne se présentent pas aux élections qu'il faut se sentir obligé d'élire des couillons. ¤¤¤ La jalousie est la réponse des médiocres. ¤¤¤ Depuis qu'il fait partie de la confrérie de "la Sainte Trouille", il a toujours peur. ¤¤¤ Comme il n'y avait pas assez de place dans sa bouche, elle avait mis ses dents dehors. ¤¤¤ À force de prononcer les "ze" ("the"), les Anglaises ont toutes les dents en avant. ¤¤¤ Il faut tuer le passé dès qu'on en a l'occasion, parce qu'il n'y a rien de pire que la mémoire, pour vous empêcher d'avancer. ¤¤¤ Il y a tellement de voitures que les routes ne parviennent pas à les rattraper. ¤¤¤ Le soldat tira si fort que l'air blessé se mit à saigner. ¤¤¤ Il faisait si chaud que la pluie qui tombait était sèche. ¤¤¤ Cette femme est si froide lorsqu'elle parle, que ses paroles gèlent à peine sorties de sa bouche. ¤¤¤ Je lisais et les arbres penchés sur moi lisaient par-dessus mon épaule. ¤¤¤ J'ai allumé le poêle et j'ai ouvert la fenêtre pour réchauffer la cour. ¤¤¤ L'écrit, ce cri du silence. ¤¤¤ Les chemins fuguent tout le temps, aussi doit-on leur courir après. ¤¤¤ Le torrent n'a pas la mémoire des cailloux qu'il transporte. La mer ne le lui demande même pas. ¤¤¤ Qu'est-ce qu'un écho, sinon l'ombre portée de la voix ? ¤¤¤ Je l'aimais tellement que les manches de ma veste avaient gardé la forme de mes étreintes. ¤¤¤ J'ai marché sur la mer, lors que derrière moi, les vagues effaçaient mes empreintes. ¤¤¤ Tout en vous était froid. Même l'odeur glacée de vos silences. ¤¤¤ Quel que soit l'endroit où vous passez, veillez à toujours effacer votre ombre derrière vous, pour ne pas qu'on vous retrouve. ¤¤¤ Il y a des jours qui sont plus longs que des hivers. ¤¤¤ Chaque soir, à table, je parle à mon ombre. Laquelle me raconte sa peur de la lumière. ¤¤¤ Qu'est-ce qu'un cauchemar ? Une rature sur l'oreiller. ¤¤¤ En novembre, les pluies sont volubiles. ¤¤¤ L'aurore gomme la ponctuation des étoiles. ¤¤¤ L'arbre était devant. J'étais derrière. Ensemble, on marchait d'un bon pas. ¤¤¤ J'étais parti depuis si longtemps que les murs eux-même, ne me reconnaissaient pas. Quant aux allées du jardin, elles n'avaient pas gardé la mémoire de mes pas. ¤¤¤ Certaines choses sont plus difficiles à faire que d'autres. Ne serait-ce que promener le soleil attaché au bout d'une ficelle, par exemple. ¤¤¤ Il hurlait à déplumer les oiseaux en plein vol. ¤¤¤ Quand la nuit tombe et que vous êtes dessous, ça fait mal. ¤¤¤ En France on a le droit de tout dire, à condition de fermer sa gueule. ¤¤¤ La souffrance ne se partage pas. Qui n'a pas ma souffrance ne peut pas souffrir autant que je souffre. ¤¤¤
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